dimanche 7 août 2011

Travaux de façade

Aujourd'hui, travail de finitions. La cheminée est tombée, mais il reste à faire l'enduit et l'étanchéité avec le toit de l'atelier.

Même le chat veut participer !!!

Enduit à la chaux en cours de séchage après un bel orage.
Tiens, y'a déjà plus d'échafaudage...


Un peu plus tard.
On peu voir aussi qu'on a commencé à s'attaquer au mur de la cuisine. But du jeu : le descendre pour le remonter mais avec une ouverture beaucoup plus grande et mieux placée.

vendredi 5 août 2011

Après le toit, la façade.

Voilà voilà, le toit de la cuisine est tombé, tout est rangé, nettoyé. Du coup, on a la place pour mettre l'échafaudage dans la cuisine pour le hisser contre le mur du voisin.

Pour quoi faire ? Pour faire de l'escalade... et accessoirement pour enlever la cheminée hideuse qui court le long du mur ainsi que l'antenne inutile perchée sur la cheminée du voisin.

L'assaut est donné, et tel un trophée, nous brandissons l'antenne !
D'ailleurs c'est impressionnant ce que c'est léger une antenne. C'est immense, mais ça ne pèse rien, que dalle.

Mais pas de répit. Ni une ni deux nous voilà à l'attaque de la vilaine cheminée, toute fendue et percée à la base.

Descendre une cheminée c'est le pied. Tous les gravas vont directos dans le trou de celle-ci et parviennent en bas... dans une brouette !

mardi 2 août 2011

Un toit de moins

L'échafaudage, c'est bien joli mais c'est surtout super utile.
Après avoir démonté tout un solivage qui manquait de se casser la figure au dessus de la cave, on a installé l'échafaudage contre le mur de la cuisine, pour aller démonter le toit.

Détuilage.

Charpente sommaire par chevronnage autoporteurs. On voit en dessous le plafond en lattis de la cuisine.

Une vue depuis l'atelier.

Et c'est parti pour faire tomber le lattis. On avait deux solutions : par dessous quitte à se prendre toute la poussière et le plâtre dans la figure... ou par dessus, en se tenant aux chevrons !


Opération destruction réussie.