vendredi 22 août 2008

Enduit terre sur mur de jardin

Le toit étant fini, il reste encore des tas de choses à faire... comme par exemple, s'occuper de finir l'enduit entamé sur le mur du jardin.


Un peu encore de main d'œuvre bienvenue... et ce coup-ci c'est Patricia qui s'y colle. Donc, on plaque la terre + chaux à la main... puis un coup de polystyrène bien dur et hop l'enduit se retrouve lissé, collé et tout prêt à sécher.


Pas mal non ? Bon finalement, on n'a pas encore fini, car le soleil tape trop sur l'enduit et c'est pas bon.

mercredi 13 août 2008

Toiture, suite... et fin !

Retour sur le toit. Il faut finir, on y est presque. Le défi de réaliser le toit en 15 jours va être gagné, finalement, on l'aura fait en 10 jours, mais avec des pauses obligatoires vu la pénibilité de la chaleur sur le toit. Donc 13 jours aujourd'hui, et ce sera terminé.


Il en reste plus qu'un tout petit bout (à gauche).


Et voilà, là ça sent la fin. Voici le closoir ventilé qui fait son apparition. Cet objet va permettre de ventiler le toit, et se place sous les tuiles faîtières. J'ai opté pour celui-ci et non une bande souple à dérouler, car l'avantage c'est qu'il n'y a pas besoin de le coller. Le poids des tuiles le maintien en place et sa structure rigide ne risque pas de se déformer, de glisser... ou autre surprise. Du coup, si les tuiles du haut du toit glissent (ce qui ne manquera pas d'arriver... dans une 10aine d'année) et bien, je démonte le tout juste en haut et c'est reparti pour un tour, sans avoir à tout casser. Enfin, c'est le but... après on verra.


Installation sous l'orage qui gronde.


Il manque encore quelques tuiles faîtières... les plus "légères" ;-(


Une jolie vue sur le toit bien réparé. On dirait presque qu'il a toujours été comme ça, non ?


Des petits coups de maillet pour adapter la jupe plissée de plomb aux vagues des tuiles.


Et voili voilou, ce coup-ci c'est bien finni !
Et l'orage vient de nous passer juste à côté. Depuis le toit, on voit qu'il pleut à 800 mètres !

Et encore une référence !

Y'a des photos qui valent le détour. Tiens, celle-ci par exemple :


Ça ne vous rappelle rien ?


Et celle-ci ?
Rien moins que le célèbre tableau de Raphaël (pas le chanteur !).
Saint Michel terrassant le dragon, 1518.

mardi 12 août 2008

À la mine...

Creuser une cave c'est chouette...


C'est un peu comme à la mine. On n'y voit rien, ou pas grand chose. On a des outils pas très modernes (pelle, pioche). Et surtout...


On sort de là sale et épuisé.
... Mais radieux !

dimanche 10 août 2008

Toiture suite et pause aromatiques


Ça avance ! Il fait une chaleur écrasante. Le soleil tape fort même si on travaille le matin. Un orage va éclater c'est sûr, il nous faudra bâcher (déjà fait cette opération deux ou trois fois, pour trois gouttes de pluies... c'est charmant).


On essaie d'avancer le travail à l'ombre. On s'est fait plaisir par un détour en jardinerie. Résultat, il faut planter les aromatiques. Et pour cela il faut aménager la plate-bande, car pour l'instant, il n'y a que du cailloux.


Menthe, romarin et oseille fraîchement plantés.


Persil transplanté et thym sauvé de la désespérance dans laquelle il végétait.


Et une nouvelle venue un peu plus loin : de la rhubarbe ! Ça c'est trop chouette, c'est pas vraiment une plante pour le sud, mais je l'ai mise à l'ombre, histoire qu'elle ne souffre pas trop et qu'elle me donne de grandes et bonnes tiges. Miam !

vendredi 8 août 2008

Ça creuse et ça reconstruit

La cave...


Le creusement se poursuit. Nico atteint une zone de galets et de sable sous la couche de limon. C'est toujours friable, du moment que pelle et pioche sont à portée de main.


Creuser, certes, mais récupérer ce qui sort c'est encore mieux. Toute cette terre limoneuse sera absolument parfaite pour la suite des travaux. À récupérer comme sable de mortier ça évitera de faire des achats compulsifs de sable de carrière. Mais en attendant il faut le stocker. Donc, dans la pièce d'à-côté, pour pas faire trop loin.


Réunion de chantier, mise au point de la stratégie de creusement en bord de rue et de voisinage...


Et là-haut ? Et bien voilà, un premier pan de toit est terminé (celui qu'on ne voit pas), et on attaque l'autre côté. Les mêmes gestes, mais à 2 cette fois ci. La main d'œuvre parentale est fatiguée, donc on avance en espérant terminer dans 3 à 4 jours.


Au travail. Ce qu'on ne voit pas sur la photo ce sont ces affreux moucherons qui n'arrêtent pas de nous tournicoter au-dessus de la tête, de nous foncer sur le visage, de nous piquer un peu partout (ou alors ça c'est juste une sensation tellement ils nous énervent). Ça fatigue pour rien, mais on a tout essayé, y'a que le bob/casquette enduit de produit répulsif qui fonctionne un tout petit peu. Ensuite il y a le vent qui peut les chasser... mais du vent, y'en a pas !!!


Repos toiture, j'attaque l'enduit du mur du jardin tout moche. On a gratté les restes de peinture, mais on en a laissé, on verra bien si ça tient. Le mélange utilisé ? 1 vol. de chaux + 3 vol. de terre de cave en guise de sable. Pas possible vu la fine couche que je mets, de la poser à la main, donc j'utilise un morceau de bois pour écraser le tout sur le mur.

jeudi 7 août 2008

Et le jardin pendant ce temps ?

Pendant ce temps...


Et bien ça pousse et ça s'installe. Les aubergines, les poivrons, l'abricotier greffé de l'hivers qui pousse, pousse, pousse.., puis à droite, des courgettes. Enfin, l'enclos à compost.


Et aussi les potimarrons qui prennent place. Dans peu de temps, ils auront recouvert toute la zone, et on ne pourra presque plus marcher là.


De l'autre côté une tentative de melons désespérée... On est en août, ça fait pleurer !!!!

mercredi 6 août 2008

Petite pause toiture

La toiture c'est sympa, mais 6 jours de suite c'est crevant. Donc petite pause.


La cave donc... qui avance. Les gravats ont tous été évacué et Nico peut donc tamiser les galets qu'il trouve dans la terre, dans les travées (gauche et centre).


Et puis tant qu'à faire de démarrer de nouveaux chantiers, Xtine se lance dans le grattage de fenêtres... Et oui, j'ai décidé de les garder ces fenêtres. Tout d'abord parce qu'elles sont adaptées à leur logement et cela m'évitera de devoir refaire du sur mesure. Ensuite, parce qu'elles sont en relativement bon état hormis certaines zones qu'il faudra renforcer, c'est quand même du chêne et du châtaignier. Enfin, parce que vu leur résistance, je vais pouvoir y mettre du double vitrage, et ça c'est la grande classe.

Comment faire ? Et ben il faut prendre méticuleusement toutes les mesures des carreaux, faire fabriquer les verres en douvle vitrage, puis les installer comme du simple vitrage, ni plus nin moins. L'épaisseur supplémentaire est rattrapée par une languette d'installation de l'épaisseur d'une vitre simple. et voilà le tour est joué. Bien moins cher au final que de faire changer ses fanêtres par du PVC tout moche et tout nul...

mardi 5 août 2008

Ça répare le haut, ça entame le bas

Et ça continue pour la toiture...


Pas mal ce pan de toit non ? Tuiles bien alignées, nickel chrome... j'attends la pluie avec impatience ! Enfin, faudrait pas qu'elle arrive trop vite tout de même, la toiture n'est pas encore finie.


Ça progresse... méthodiquement.


Pendant ce temps, Nico qui est condamné à ne pas pouvoir monter sur le toit, s'occupe à la cave. Et que fait-il ? Ben, il creuse té pardi !!! Et il tamise, ça va de soi ;-)


La cave est donc lancée, le sol est assez facile à attaquer à la main, à la pelle plus exactement. On verra bien ce qu'il y aura dessous...

lundi 4 août 2008

Et frotte frotte la toiture

Toiture encore et encore... le temps n'est pas avec nous, il fait lourd, chaud sur les tuiles mais l'orage n'arrête pas de gronder... c'est la tuile !


Les mêmes, un jour plus tard... un peu plus loin sur la pente du toit. Les tuiles sont nettoyées, frottés, briquées, puis le toit est balayé. Enfin les tuiles sont replacées et c'est un rang de plus qui subit le même sort, inlassablement.


Vue de la rue.


Image rarissime : nous avons réussi à photographier le mystère de l'Ascension !!!

samedi 2 août 2008

Déshabillage de la toiture


On attaque la pente du toit côté rue. Sortie des tuiles : on les entrepose les unes sur les autres en petits paquets, afin de pas trop surcharger la toiture en un seul endroit.


Les tuiles ont besoin d'un petit nettoyage... à coup de brosses métalliques ! On vire la mousse, les lichens, les nids de guêpes, les escargots et les poissons d'argent (espèce de bêtes bizarres genre préhistoriques, sorties d'on ne sait où).


De jolis petits tas se forment. On a appelé de la main d'œuvre à la rescousse.


Et voilà de belles rangées bien propres... coup de balais oblige.


Père et fille... sans commentaire.


Tiens il fait beau ! Et chaud !!!!!
Mais on y est, alors on y reste, casquettes bien vissées sur la tête.

vendredi 1 août 2008

C'est parti pour une nouvelle toiture.

Il fallait le faire, donc on s'y est mises... La toiture avait pas mal de failles, surtout au faitage, donc nous y voilà, par un beau ciel tout gris, première étape d'une longue aventure d'été.


Tout d'abord, il faut enlever les faîtières, lourdes, énormes et qui sont maçonnées au mortier (fissuré).


Un faîtage sans faîtières... et avec plein de morceaux de mortier à évacuer... On va s'y prendre comment ? À la main, morceau par morceaux, ça va nous prendre des heures.


Alors voilà la solution : on dégage trois rangées de tuiles, et on se sert du voligeage pour faire une rampe d'éjection !


Xtine à la manœuvre. Au faîte de sa gloire ;-)


Elle me passe les morceaux...


Dans un seau s'il vous plaît ! Pas n'importe comment, il ne s'agit pas de casser le toit tout de même. Donc le seau est attaché à une corde et glisse sur les voliges. Il arrive jusqu'à moi (située donc juste au-dessus de la gouttière) et hop je récupère le paquet que je balance ensuite dans le tas de gravas situé à proximité.


Voilà du bas ce que cela donne : le toit, le faîtage démoli, la gouttière d'évacuation, et le tas de gravas à droite.
1er août : mais quel beau temps dites-donc !!!