Nettoyage...

Et voilà le vide sanitaire qui est bien nettoyé. Vous pouvez remarquer les travées séparée par des petits murets de briques foraines, c'est très curieux. D'autant que dans la pièce d'à côté, ce n'est pas du tout fait de la même manière. Il y a juste des plots de briques pour soutenir les solives et c'est tout. Là les murs sont bien maçonnés et seraient de support aux solives. Afin que le vide sanitaire reste bien ventilé, des ouvertures avaient été faites à cet usage.


Préparation pour un grand voyage à la déchetterie. Cette cochonnerie d'agglo traité et recouvert de colle à moquette, ce n'est pas ce qu'on fait de plus écologique et durable... j'ai tenté d'en brûler un petit bout, il a fallut que je m'enfuie dans la maison en fermant toutes les portes tellement dans le jardin c'était l'asphyxie. Promis j'ai plus jamais recommencé et j'espère ne plus jamais avoir à respirer un truc aussi toxique.


L'autre partie des gravas. Du bois (les vieilles poutres toutes enduites d'huile de vidange et raccommodées à la "va comme je te pousse"), les moquettes, et dans les poubelles tout un tas de ferrailles que même un ferrailleur ne voudrait pas récupérer.

Un peu de jardinage à la tronçonneuse...

Quand il faut jardiner, il ne faut pas lésiner sur les outils.


Donc pour entretenir la greffe de prunier, rien de tel qu'un peu de tronçonneuse. L'idée est que la branche qui ne sert à rien n'aille pas pousser au printemps, donc je la coupe !
Et bien vous le croirez ou pas, cette tronçonneuse a eu bien du mal à terminer son ouvrage tellement le bois était dur. Il a fallut que je joue avec une hache pour aider la machine...


Pendant ce temps, imperturbable, le brugnonier sentait arriver le printemps avec un bon mois d'avance sur l'horaire officiel. De magnifiques fleurs roses qui sentent très très bon.


De nouveau des semis de tomates. Oui je sais, j'adore les tomates et tant qu'à faire autant tester un max de variétés.

Un peu de tout

Ça fait un petit bout de temps que Nico s'attache à nettoyer le vide sanitaire sous la première pièce du bas. Là où il y a avait plein de vieux parquet, de briques cassées, de débris divers et variés, de canettes de bières... bref, tout un fatras bien peu sympathique, et bien maintenant il y a ça :


Oh c'est tout propre !


Enfin presque... Quand ce sera fini, on pourra creuser la cave !


En attendant, le déblayage du vide sanitaire demande un peu d'organisation. Et le vieux plancher de chêne retrouve une nouvelle jeunesse dans du bois de chauffage pour quand la maison sera terminée... c'est dans combien de temps d'après vous ? Loin, loin, loin, mais ce qui est sûr c'est que de jours en jours ça se rapproche.


Pour l'instant, c'est le temps des premiers semis sous serre, vu le beau temps. On a pensé à bien amarrer la serre de balcon car le vent d'autan est parfois un peu violent par ici.


Et voilà de beaux poireaux qui ne demandent qu'à pousser.

Demi panettone au jardin

C'est infernal. À chaque fois que je mets les pieds dans une jardinerie, c'est plus fort que moi, il faut que je rapporte quelque chose à planter. Ce coup-ci, armée de plein de résolutions pour ne pas craquer... j'ai rapporté un bambou noir. Ça faisait longtemps que j'en rêvais, j'avais même essayé d'en chipper un à la fac, en récupérant un petit bout de racine qui dépassait ici et là. Mais sans succès...


Voilà le petit bambou... Au fond, je prépare l'endroit où il va s'installer. Pas loin du puits mais pas tout près non plus histoire que les racines n'aillent pas me mettre la panique dans sa maçonnerie.


Le voilà tout nu. C'est cher un bambou, alors comme Nico était de la partie, je lui dois un demi-bambou. Ben oui, à deux ça fait moins cher. Donc une partie du bambou ira dans mon jardin et l'autre sur le balcon de Nico. Mais on fait comment pour obtenir un demi bambou ? C'est très simple, on prend une scie, et on scie ! Sans pitié, comme un demi panettone.


Et le voilà planté. On ne voit même pas qu'il lui manque sa moitié. Bienvenue au jardin très cher !

Pré-buttage pour les patates

Cette année, je ne veux pas me faire avoir... Les patates seront plantées un peu plus espacées que l'an dernier, histoire de passer entre les rangs et que les pommes de terre soient encore plus grosses !!!
Donc, je préfabrique les buttes, histoire d'avoir une idée de l'espace que mes rangs vont prendre. Tant qu'à faire je plante aussi les patates :-)


C'est dur de faire des buttes... mal au dos garanti.